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LES PLUS BEAUX VILLAGE DE BRETAGNE...

Publié le 30/11/2010 à 14:38 par marinestla Tags : bretagne
LES PLUS BEAUX VILLAGE DE BRETAGNE...

Locronan, Finistère

Locronan est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, France.

Son nom signifie « le lieu (de l'ermitage) de saint Ronan ». Les archives anciennes appellent parfois Locronan, Saint-René-du-Bois[réf. nécessaire].

L'important patrimoine architectural de Locronan, préservé très précocement, a permis au village d'être membre du réseau des petites cités de caractère. Locronan est aussi aujourd'hui gratifié du label des plus beaux villages de France, décerné par une association indépendante visant à promouvoir les atouts touristiques de petites communes françaises riches d'un patrimoine de qualité. Autour de l'église, les toits du village sont des œuvres d'art.

Le lieu-dit Plas Ar Horn, au sommet de la « Montagne » du Prieuré, à laquelle est adossé Locronan, offre un splendide panorama de la plaine du Porzay, du Ménez-Hom et de la baie de Douarnenez dans son ensemble.

Histoire

Locronan est un petit bourg élevé au rang de ville en 1505 par Anne de Bretagne, venue en pèlerinage.

Dès le XVe siècle, le chanvre fleurit à peu près partout dans la région de Locronan. De cette production naît une industrie de la toile à voile qui va faire prospérer la petite cité. La renommée des toiles issues de la manufacture de Locronan va vite traverser les frontières et même les océans. Elles équipent les navires de la Royale et de la Compagnie des Indes, mais les commandes proviennent aussi des marines étrangères. La toile à voile de Locronan aurait ainsi équipé l'Invincible Armada espagnole et Shakespeare la cite même dans Coriolan (acte II, scène I).

C’est à cette époque de prospérité qu'appartiennent la plupart des richesses architecturales que constituent les demeures en granit de la place de l'église et des rues avoisinantes et, naturellement, l’église Saint-Ronan et la petite chapelle du Pénity attenante à celle-ci et abritant le gisant du saint (respectivement des XVe et XVIe siècles).

La place, dotée en son centre d’un puits, prend toute sa dimension chaque deuxième dimanche de juillet lors des Troménies, mais encore plus toutes les six années lors de la Grande Troménie (la dernière a eu lieu en 2007, la prochaine en 2013).

Bien que le rituel contemporain de la troménie soit éminemment catholique, son circuit aurait des racines celtiques, si l'on suit l'hypothèse du chercheur Donatien Laurent ; d’ailleurs la forêt de Nevet conserve la trace toponymique d'un nemeton, espace sacré dans lequel les druides officiaient.

La tradition hagiographique du haut Moyen Âge nous apprend que la région a été christianisée au Ve siècle par saint Ronan, ermite irlandais. La tradition orale contemporaine veut que saint Ronan parcourait chaque jour en pénitence le circuit de la petite troménie, et chaque dimanche celui de la grande. La ville de Locronan conserve à jamais la trace de son passage puisque nous la nommons désormais Locronan, le locus (l'espace) de Ronan.

Des celtisants ont associé la procession estivale de la grande troménie à sa consœur irlandaise du Croagh Patrick, qui se déroule chaque premier août, c'est-à-dire à la fête celtique de Lugnasad ; saint Ronan pourrait être un avatar du dieu Lug.

Monuments et lieux touristiques

* Église Saint-Ronan, XVe, classée MH
* Place de l'église avec son puits
* Immeubles de cette place
* Hôtel Gauthier
* Chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle (XVe, XVIe et XVIIIe), classée MH
* Camp des Salles, désigné sous le nom Goarem-ar-Salud

Anecdotes

Locronan offre la particularité d'avoir la totalité de ses fils électriques enterrés depuis le tournage de Tess par Roman Polanski en 1979. La remarquable homogénéité des constructions dans la partie classée du village en fait un lieu de tournage idéal, notamment de films historiques. Tess est d'ailleurs nommé aux Césars 1980 dans la catégorie « meilleurs décors » (réalisés par Pierre Guffroy).

La ville a servi de décors pour plusieurs films :

* Les Trois Mousquetaires d'Henri Diamant-Berger ;
* Chouans de Philippe de Broca ;
* Tess de Roman Polanski ;
* Bosco de Jose Rodriguez ;
* Un long dimanche de fiançailles de Jean-Pierre Jeunet ;
* Pêcheur d'Islande.


Troménie

Locronan est célèbre pour sa Grande Troménie, une procession se déroulant autour des limites d'un ancien espace sacral tous les six ans.

La dernière grande Troménie a eu lieu en juillet 2007 et la prochaine aura lieu en 2013. À cette occasion une cérémonie religieuse est organisée avant le départ de la procession vers 14 heures. Sur un parcours de 12 km, les pèlerins suivent un cortège formé par les bannières des communes environnantes portées tout au long du trajet par les habitants revêtant pour l'occasion le costume traditionnel breton.

Entre deux grandes Troménies se déroule annuellement la petite Troménie, le 2e dimanche de juillet.



Troménie est une francisation du breton tro-minihi, littéralement tour (tro) du minihi dérivation du latin monachia (espace monastique du haut Moyen Âge). L'appellation la plus ancienne désigne la grande Troménie de Locronan, une procession giratoire catholique d'environ douze kilomètres qui se déroule tous les six ans. L'ascension du Menez-Lokorn (montagne (plutôt une colline) de Locronan) a justifié chez de nombreux auteurs l'étymologie de troménie par tro-menez ou tour de la montagne. L'hagiographie du haut Moyen Âge consacre les troménies comme des circuits de fondation d'espace sacraux monastiques.

Dans le cas de Locronan, la grande troménie pourrait correspondre à la pérégrination d'un espace sacral antique ; le circuit passe par la forêt de Nevet, dont l'étymologie découlerait de nemet (« sacré »), dérivation du nemeton druidique gaulois. La forme du circuit, le nombre de stations et sa périodicité sexennale renvoient à l'époque préchrétienne. Il semble que ce soit la grande troménie de Locronan qui ait consacré le terme de troménie pour les autres circumambulations de Basse-Bretagne, par l'intermédiaire des publications de l'Évêché de Quimper (cf. l'hebodmadaire La Semaine Religieuse de Quimper et de Léon de 1887 consacrant de nombreuses pages à la grande Troménie de Locronan et l'article du chanoine Paul Peyron consacrant le terme pour les autres processions giratoires du diocèse). Les autres circumambulations sont appelées vernaculairement tro ar Relegoù (tour des Reliques), tro Sant-Sane (tour de Saint-Sané), Leo dro (Lieue de tour).

Les troménies se déroulent toutes entre l'Ascension et la Pentecôte (sauf celles de Locronan), circonscrivent un espace paroissial plus ou moins important. Elles correspondent aux « tours de paroisse » que l'on retrouve en Europe de l'Ouest, comme les tours de ville belges (le tour de sainte Rolende à Gerpinnes, le tour de Sainte-Gertrude à Nivelles, le tour de Saint-Vincent à Soignies, le tour de Sainte-Renelde à Saintes, le tour de Saint-Hermès à Renaix...) ou les nombreux tours de Saint-Georges (Georgiritt) ou Saint-Léonard (Leonhardifahrt)en Allemagne. Les Beating the bounds anglais, aujourd'hui disparus, correspondaient à une cérémonie de Rogations ayant évoluée au XVIIe siècle pour une pérambulation des frontières paroissiales où les bornes étaient signifiées aux paroissiens ; la Grande-Bretagne ayant connu une évolution de la définition juridique et territoriale de la paroisse différente de celle de la France.

Il existe aujourd'hui six troménies en activité :

* à Locronan (2e dimanche de juillet pour la petite, entre le 2e et le 3e dimanche de juillet pour la grande),
* à Landeleau (dimanche de Pentecôte),
* à Gouesnou et à Bourbriac (jeudi de l'Ascension).

Les troménies de Locquénolé et Plabennec ont été "recréées" en 2008, celle de Plouzané a disparu vers 1970 et celle de Locmaria-Quimper au XVIIe siècle.

article ici

 

Au croisement de deux anciennes voies romaines et classée monument historique, la grande place est le cœur de Locronan. Autour de l'église, le superbe alignement de 14 maisons aux façades de granit compose un ensemble architectural unique en Bretagne. Ces demeures XVIIe et XVIIIe témoignent de la richesse des notables et des marchands de toile qui les firent édifier (Bureau des Toiles, Hôtel de la Compagnie des Indes...). Le puits communal était autrefois la seule source d'eau potable de la cité.

L'église priorale Saint Ronan. Elle fut édifiée "en forme de cathédrale" sur la grande place entre 1425 et 1480 grâce aux donations des Ducs de Bretagne. Sa flèche, foudroyée par trois fois, fut définitivement démolie en 1808. A visiter absolument pour sa chaire, ses retables et ses vitraux. La légende de Ronan raconte les démêlés du saint avec la Keben.

Le Penity. Cette chapelle attenante à l'église, renferme le tombeau de St Ronan. Le saint y est représenté couché sur une dalle de pierre de Kersanton soutenue par 6 anges porteurs de blasons. Le gisant du saint bénit de la main droite et enfonce de la main gauche sa crosse dans la gueule d'un monstre.

La rue Moal est l'ancienne rue des Tisserands. Sur la droite se trouvait un petit hôpital démoli en 1862.

Notre Dame de Bonne Nouvelle (XVe). A 200m, en descendant la rue Moal, autrefois la plus animée du bourg. La chapelle possède des vitraux modernes d'Alfred Manessier. A proximité, une fontaine votive offerte par Conan (marchand toilier) en 1698 et dédiée à St Eutrope jouxte un lavoir.

Le Camp des Salles. Il s'agit d'un retranchement terroyé carolingien à 500m du bourg. Ce camp était probablement la résidence d'un haut personnage au IXe - X e siècle, peut-être Gradlon.

La légende de Ronan

Une vie latine du XIIe raconte l'histoire de Ronan, évêque Irlandais venu en Armorique sur sa "barque de pierre" pour y chercher la solitude que requiert une vie d'ermite.Cette histoire enluminée, d'un genre littéraire très répandu dans la chrétienté médiévale, est plus proche de la légende que du récit historique.

On y apprend que Ronan est arrivé à la forêt du Nevet, après une escale en Léon où son culte est encore attesté. A l'orée du bois, il construit un oratoire pour y proclamer sa foi. Très vite, les miracles qu'il accomplit et ses propos édifiants lui attirent des visiteurs dont le moindre n'est pas le célèbre Gradlon. Mais il rencontre, dans ce refuge de cultes celtes, une farouche opposition, personnifiée par Keban(ou Keben) , femme de paysan. Le mari de celle-ci aide Ronan à construire une hutte, et devient son disciple le jour où l'ermite contraint un loup à lâcher la brebis qu'il venait de capturer. Keban, jalouse de l'assiduité de son mari auprès du saint, prétend que le solitaire a partie liée avec les loups et qu'il envoûte les humains. Elle va même jusqu'à enfermer sa fillette dans un coffre pour accuser Ronan devant Gradlon de cette disparition. Le roi, embarrassé, soumet l'ermite au jugement de Dieu en lâchant contre lui deux molosses. Le saint homme arrête d'un signe de croix les deux animaux qui se couchent à ses pieds. Il retrouve et ressuscite l'enfant qui s'était étouffée dans sa cache, avec le pain que sa mère lui avait laissé.

Mais Keban ne désarme pas et prétend que l'ermite a voulu la séduire. Ronan, âgé et fatigué, quitte la Cornouaille pour la baie de St Brieuc. Il est accueilli à Hillion par un paysan, mais c'est pour y mourir bientôt. Sa dépouille, disputée par les comtes de Vannes, de Rennes et de Cornouaille, est placée sur sur un chariot traîné par des bœufs qu'on laisse aller à leur guise. L'attelage se dirige tout droit sur la forêt du Nevet, mais refuse de passer Tro Balan jusqu'à ce que le comte de Cornouaille ait fait don de cette terre.

Les tisserands

Tout commence au XVe siècle!

Le climat tempéré et humide de la Bretagne, le nombre important de ruisseaux, nécessaires pour le rouissage du chanvre, a certainement contribué à l'expansion de sa culture. Depuis longtemps sans doute, les paysans bretons cultivaient le lin et le chanvre pour leur besoins personnels (draps de lit, chemises, sacs...). Mais ces raisons ne suffisent pas à justifier l'élan, qui se fait jour dès le XVe siècle à Locronan, pour la fabrication des toiles de chanvre. Il faut plutôt chercher du coté des marins de Pouldavid (ancien port de Douarnenez). Ceux ci participaient en effet au trafic du sel, qu'ils allaient charger sur les côtes du Bas-Poitou, dans les ports de La Chaume d'Olonne et de St Gilles d'Olonne. Les gens de cette région s'étaient déjà assuré une réputation pour la qualité des toiles à voile qu'ils fabriquaient. Conscients de l'intérêt de ce commerce, les marins de Pouldavid ont cherché à faire fabriquer dans ce pays ces toiles, qu'ils ont continué à vendre sous le nom d'olonne. La richesse déjà affirmée de Locronan à cette époque et l'exemption de certains impôts ont, à leur tour, favorisé l'installation des tisserands et marchands dans la "ville".
Prospérité des XVIe et XVIIe siècles.

Mais dans ces périodes de trouble, tout ne va pas sans mal; et les guerres de la Ligue, durement ressenties en Bretagne, n'ont pas épargné la Cornouaille. Locronan se relève après tout assez rapidement. La concurrence sur les fabriques de Vitré et de Merdrignac, sur les marchés étrangers, est compensée par les commandes de Brest (choisi par Colbert comme grand port militaire du Ponant en 1665) et de Lorient (port de la Compagnie des Indes en 1666). Ce marché intérieur permettra d'ailleurs à la cité des tisserands de continuer à prospérer malgré la fermeture des mers par les Anglais pendant les guerres de Louis XIV.

Autour de l'activité de la manufacture, la cité s'est installée : artisans, commerçants, petite bourgeoisie et petite noblesse participent à l'animation de la ville toilière. Les tisserands ont même leur emblème gravé à l'intérieur de l'église.

Le déclin

Le XVIIe siècle est celui de la stagnation, voire de la régression au fur et à mesure que l'on s'approche de la révolution. La concurrence des manufactures royales de Brest installées par Colbert en 1687 (et qui attira les meilleurs tisserands de Locronan), se fait durement sentir. Les marchands, autrefois nombreux à Locronan, disparaissent peu à peu. En 1751, s'il reste encore 150 tisserands à Locronan, il n'y a plus qu'un seul concessionnaire pour les marchés de Brest et de Lorient. Ce marchand peu scrupuleux impose ses prix, ce qui oblige les tisserands à faire des économies sur la qualité des toiles, et plus exactement sur l'épaisseur de la trame. Il n'en faut pas plus pour que les plaintes affluent et que les "m'élis" , fabriquées dans l'évêché de Rennes s'imposent par leur qualité supérieure.

Les commandes s'amenuisent, la réputation s'éteint, et en 1813 on ne recense plus que 10 métiers à tisser à Locronan. Cette dernière résistance sera même vaincue par la
concurrence irrésistible de l'industrie mécanique du Nord de la France
Le marasme des affaires a fait fuir tout le beau monde de Locronan; chacun se sauve avec les capitaux accumulés pendant les siècles de prospérité. Restent leurs magnifiques demeures et les richesses de l'église que l'on peut admirer aujourd'hui.

Trois ateliers de tissage, à la production aussi riche que diversifiée, prouve que le flambeau de la cité des tisserands n'est pas complètement éteint.

Une pièce de toile de Locronan, terminée, bien que de dimension variable au cour des siècles, mesure environ 30 aunes sur 3/4 d'aunes soit environ 33 mètres sur 0,90.
A la fin du XVIe siècle, l'équipement d'un grand galion espagnol nécessite de 50 à 100 pièces de toile (chaque pièce faisant environ 30m²), tandis que les grands navires anglais utilisent de 20 à 25 pièces.
Au XVIIIe siècle, un tisserand fournit en moyenne 40 pièces par an, en travaillant 12 mois sur 12, ce qui était le cas des seuls artisans de Locronan.

 

et ici

 

SIGNATURE

Commentaires (6)

yvonne+doré le 30/11/2010
BONJOUR MA DOUCE REINE DE COEUR ! tu vas bien ?!! plus de nouvelles - snifffffff - magnifique ce reportage sur LOCRONAN - classé au patrimoine - et où j'ai passé de bons moments, encore l'été dernier ! me permets tu de prendre cet article (avec ton lien bien entendu !) merci ! gros bisous tendresse - ta princesse - yvonne -
http://yvonne92110.centerblog.net+.centerblog.net


yvonne+doré le 30/11/2010
MAIS NON ! je ne t'en veux pas de m'avoir (un peu oubliée !) - je sais que ce n'est pas volontaire ! pas question de te punir j'ai trop d'affection pour toi !!! merci pour cet article de LOCRONAN ! je connais plein de commerçants là-bas, à force d'y aller ! c'est un petit village pittoresque qui vaut le détour ! merciiiiiiii pour ces beaux souvenirs que tu réveilles en moi ! Bonne journée et gros bisous tendresse ma REINE de COEUR que j'adore ! yvonne -
http://yvonne92110.centerblog.net+.centerblog.net


soaz le 30/11/2010
Wouah superbe le kdo pour Mercédes, une fleur habillée en fleur coquelicot...Superbe ! Elle va adorer !
gros bisous Marine
http://soaz.centerblog.net


soaz le 30/11/2010
je suis très emue du sublime kdo que tu me fais Marine, j'adore vraiment !!
Sincèrement j'en ai les larmes aux yeux tellement j'apprécie ! Tu es adorable Marine, merci beaucoup !!!!!!!
C'est avec un immense bonheur que je vais poster ce merveilleux kdo sur mon blog !!
Mon merci me parait tellement petit à comparer de ce que je peux ressentir !!
Milles bisous Marine ! je t'adore !

http://soaz.centerblog.net


miss le 30/11/2010
hooo!! la bretagne! je craque moi! pff!!!
oui j'ai vu un com de marraine je vais aller la voir
bonne soirée marine chérie que j'adooooooooooooooooooooore
bisous fooooooooooooooooooooort
http://missnut.centerblog.net


Trigwen le 01/12/2010
C'est tout à fait cela ! Voilà un village fort bien préservé des automobiles puisque les visiteus et touristes ne peuvent s'y promener qu'à pied.
Locronan est sans doute un des plus beaux villages de Bretagne. Un village que j'ai vu évoluer depuis que je suis gamin.
Depuis une trentaine d'années, ce village est devenu le lieu obligé des visites des touristes qui veulent voir de l'authentique. Des visites qui font très bien marcher le commerce local.
Je ne regrette qu'une chose : que ce village soit tropdevenu une attracion touristique et que les gens qui y viennent ne prennent pas le temps de regarder certains petits coins qui valent le coup d'être admirés comme l'église et l'intérieur de celle ci.
Reste qu'il vaut mieux que ce village soit préservé que laissé à l'abandon comme trop de villages qui se meurent dans d'autres régions de France. Excellent billet très complet qui en apprendra beaucoup à ceux qui ne connaissent pas encore ce village du Finistère.
Bisous Marine.
Trigwen


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