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Date de création : 30.07.2009
Dernière mise à jour :
17.03.2014
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Combourg

Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Canton Combourg (chef-lieu)
Code commune 35085
Code postal 35270
Démographie
Population 5 401 hab. (2007)
Densité 85 hab./km2
Aire urbaine 28 115 hab. ()
Gentilé Combourgeois, Combourgeoise
Géographie
Coordonnées 48° 24? 34? Nord
1° 45? 02? Ouest / 48.4094444444, -1.75055555556
Altitudes mini. 29 m — maxi. 120 m
Superficie 63,55 km2
Combourg (Conborn ou Comboute en gallo), est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne. Elle doit son surnom de « berceau du romantisme » à l'écrivain François-René de Chateaubriand qui y a passé une partie de sa jeunesse au Château de Combourg.
Ses habitants se nomment les "Combourgeois" ou "Combournais" (rare). Combourg tire son nom des mots gaulois, latins ou bretons "combore" ou "combure" signifiant « le val de la limite » et rappelant la frontière des diocèses de Dol-de-Bretagne et de Saint-Malo.
Géographie
Ville de Haute-Bretagne, elle est également sur la route des Portes de Bretagne. Combourg est située entre Rennes et Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine.
Antiquité et Moyen Âge
Dès l'époque gallo-romaine, Combourg occupa une position stratégique et fut un village à l'activité artisanale intense. Jusqu'à l'an mille, la ville subit les assauts dévasteurs des Vikings.
La seigneurie de Combourg fut créée par l'archevêque de Dol, Ginguéné ou Junkéné, en faveur de son frère cadet Riwallon de Dol. L'archevêque qui souhaitait donner à son église un protecteur laïque tout en dotant sa famille, comme c'était alors l'usage, fit bâtir à 4 lieues de Dol le château de Combourg qu'il confia à son frère avec de vastes domaines sous sa mouvance, soit une quinzaine de paroisses et douze fiefs de chevalerie. En revanche il lui imposa, ainsi qu'à ses successeurs, l'obligation de défendre les terres et sujets de l'église de Dol et de commander son ost. C'est pour cette raison que le sire de Combourg prit dans ses chartres le titre de signifier Sancti Samsonis (porte-enseigne de saint Samson). La seigneurie de Combourg resta en possession des descendants de Riwallon jusqu'à la mort d'Yseult de Dol en 1197. Toutefois le fils qu'elle avait eu de son union avec Harsculf de Soligné (mort également en 1197) releva le nom de sa mère en devenant Jean III de Dol.
La seigneurie de Combourg fut ensuite transmise par héritage aux familles : de Châteaugiron dit de Malestroit de Rieux, du Châtel, de Montjean, d'Acigné et enfin de Coëtquen ces derniers obtinrent que la seigneurie soit érigée en Comté en 1575. L'ultime héritière de cette famille vendit le comté et son château aux parents de Chateaubriand par contrat du 3 mai 1761.
Chateaubriand et Combourg
René-Auguste de Chateaubriand et son épouse Apolline de Bédée, les parents de l'écrivain, acquirent le comté de Combourg le 3 mai 1761. François-René de Chateaubriand (1768-1848) y passa 2 ans de sa jeunesse. «C'est dans les bois de Combourg que je suis devenu ce que je suis» écrira-t-il dans ses Mémoires d'outre-tombe.
Révolution française
La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795. La fondation de la Ire République est aussi fêtée tous les ans.
XIXe siècle
Jusqu'au début du XXe siècle, les principales activités de Combourg étaient la beurrerie, la fromagerie, la fabrication de toiles à voiles en chanvre, de toiles de lin, la taille et le polissage du granit, la tannerie et la briqueterie.
Seconde guerre mondial
Le 2 août 1944, Combourg était libérée par les soldats américains appartenant au CCA de la 6th Armored Division (6ème division blindée US). Voici ce que Ouest-France disait sur cette libération.
La libération
"Le 2 août, dans la matinée, les troupes américaines libéraient la ville de Combourg. Pendant que la population acclamait nos vaillantes troupes alliées, la Résistance s'occupait du nettoyage de la région. Le premier groupe, de son côté, partait à la recherche d'un train de prisonniers civils."
"Tandis que les Teutons fuyaient en hâte, les troupes américaines faisaient une entrée triomphale dans Combourg en liesse. Aux fleurs offertes par les enfants et les jeunes femmes, les soldats de la Grande Amérique, souriants et bons enfants, répondaient par un geste de la main, salut cordial et inlassable, et par des gâteries. Le dimanche suivant, le colonel de Chambron venait dire à la mairie, devant toute la petite ville assemblée, le programme de la France de demain et les applaudissements ne lui furent pas ménagés. Les jeunes de la Résistance et les gendarmes ont purgé le pays et capturé nombre de Boches qui se terraient aux alentours."
XXe siècle
* 26 janvier 1993 : visite de Jacques Chirac, en soutien au candidat RPR aux législatives 1993, Yvon Jacob.
* 1996 : attentat (revendiqué par les indépendantistes bretons), contre la perception.
Blasonnement

Écartelé d'argent et de gueules.
Devise
Devise de Chateaubriand et de Combourg
"Mon sang a teint la bannière de France"
Lieux et monuments
Monuments historiques
La commune abrite trois monuments historiques :
* Le château de Combourg, édifié aux XIe siècle et XVe siècle et remanié au XIXe siècle, Chateaubriand y passa une partie de son enfance. Le château a été inscrit par arrêté du 15 décembre 1926 et certaines parties ont été classées par arrêté du 2 août 1966 ; le site est classé par arrêté du 27 juin 1945.
* Le manoir du Grand Trémaudan, dont le grand logis date de 1630 et des parties datent des XVe et XVIe siècles. Il a été inscrit par arrêté du 26 septembre 2005.
* La maison de la Lanterne, édifiée en 1575 à l’emplacement d’une maison fortifiée. Elle a été inscrite par arrêté du 6 mai 1966.
Autres édifices
* Statue de Chateaubriand, sculptée en 1930 par Alphonse Camille Terroir (au dos de la statue, on peut voir une lampe à huile et des étoiles gravées).
* Maison du Pendu, XVIe siècle, qui doit son nom à une légende tragique.
* Relais des Princes, ancien relais de poste devenu auberge, XVIe siècle.
* Château de la Bouteillerie, XIXe siècle.
* Collège public François René de Chateaubriand -1954- Réalisation de Patrice Simon, Architecte en Chef des Bâtiments Civils et Palais Nationaux. Fresque et mosaïque de Geoffroy Dauvergne.
* Église paroissiale Notre-Dame, 1859, construite sur les plans de Charles Langlois, puis sur ceux d'Arthur Regnault. La restauration des vitraux, réalisée par les Ateliers Helmbold, commença en 2007 et se termina en 2009.
* Abbaye, ancien prieuré de bénédictins, XVIe siècle
* Nombreuses croix
Patrimoine naturel
Du point de vue de la richesse de la flore, Combourg compte parmi les communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 545 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1373 taxons (118 familles). On compte notamment 41 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 18 taxons protégés et 33 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) .
* Lac Tranquille, 22 hectares.
* Étang des Maffins.
PROVENANCE DE L'ARTICLE ICI
PROVENANCE DES PHOTOS.......Photos Pigui
Combourge
Chateaubriand
Introduction
Ce texte fait partie des Mémoires d’Outre-tombe écrites de 1806 à 1846. Il a été écrit au château de Montboissier en 1817 suite à l’épisode de la grive qu’il a entendue dans le parc de ce château. Dans tout ce chapitre 3, Chateaubriand évoque les " deux années de délire " qu’il a passé à Combourg entre 16 et 18 ans (entre 1784 et 1786) après avoir fini ses études à Dol, Dinan et Rennes et hésitant entre la carrière ecclésiastique et militaire. Pendant deux années, de seize à dix-huit ans, sa personnalité va continuer d'y mûrir, encouragée par l'amitié exaltée qui l'unit à sa dernière sœur, Lucile, une jeune fille inspirée sinon un peu déséquilibrée, la seule qui soit demeurée dans la maison familiale, entre les bizarreries d'un père malade et la tristesse d'une mère qui se morfond : " Je me composai donc une femme des traits divers de toutes les femmes que j'avais vues. Elle avait le génie et l'innocence de ma soeur, la tendresse de ma mère, la taille, les cheveux et le sourire de la charmante étrangère qui m'avait pressé contre son sein... ". Bientôt le désespoir d'être sans amour et sans avenir s'empare de l'adolescent. Tentative de suicide, maladie. On précipite son départ vers la vie active, et il est expédié en garnison à Cambrai, puis à Dieppe. Cette période de sa vie est décisive dans la formation du caractère de Chateaubriand et il dira plus tard " C'est du bois de Combourg que je suis devenu ce que je suis, que j'ai commencé à sentir la première atteinte du mal que j'ai porté le reste de ma vie, de cette vague tristesse qui a fait à la fois mon tourment et ma félicité, c'est là que j'ai cherché un cœur qui pût entendre le mien… "
Lecture du texte
Les soirées d’automne et d’hiver étaient d’une autre nature. Le souper fini et les quatre convives revenus de la table à la cheminée, ma mère se jetait, en soupirant, sur un vieux lit de jour de siamoise flambée ; on mettait devant elle un guéridon avec une bougie. Je m’asseyais auprès du feu avec Lucile ; les domestiques enlevaient le couvert et se retiraient. Mon père commençait alors une prome-nade, qui ne cessait qu’à l’heure de son coucher. Il était vêtu d’une robe de ratine blanche, ou plutôt d’une espèce de manteau que je n’ai vu qu’à lui. Sa tête, demi-chauve, était couverte d’un grand bonnet blanc qui se tenait tout droit. Lorsqu’en se prome-nant, il s’éloignait du foyer, la vaste salle était si peu éclairée par une seule bougie qu’on ne le voyait plus ; on l’entendait seulement encore marcher dans les ténèbres : puis il revenait lentement vers la lumière et émergeait peu à peu de l’obscurité, comme un spectre, avec sa robe blanche, son bonnet blanc, sa figure longue et pâle. Lucile et moi, nous échangions quelques mots à voix basse, quand il était à l’autre bout de la salle ; nous nous taisions quand il se rapprochait de nous. Il nous disait, en passant : "De quoi parliez-vous ? " Saisis de terreur, nous ne répondions rien ; il continuait sa marche. Le reste de la soirée, l’oreille n’était plus frappée que du bruit mesuré de ses pas, des soupirs de ma mère et du murmure du vent.
Dix heures sonnaient à l’horloge du château : mon père s’arrêtait ; le même ressort, qui avait soulevé le marteau de l’horloge, semblait avoir suspendu ses pas. Il tirait sa montre, la montait, prenait un grand flambeau d’argent surmonté d’une grande bougie, entrait un moment dans la petite tour de l’ouest, puis revenait, son flambeau à la main, et s’avançait vers sa chambre à coucher dépendante de la petite tour de l’est. Lucile et moi, nous nous tenions sur son passage ; nous l’embrassions, en lui souhaitant une bonne nuit. Il penchait vers nous sa joue sèche et creuse, sans nous répondre, continuait sa route et se retirait au fond de la tour, dont nous entendions les portes se refermer sur lui.
Le talisman était brisé ; ma mère, ma sœur et moi, transformés en statues par la présence de mon père, nous recouvrions les fonctions de la vie. Le premier effet de notre désenchantement se manifestait par un débordement de paroles : si le silence nous avait opprimés, il nous le payait cher.
POUR PLUS D'INFORMATION C'EST ICI
Le Chat d'outre-tombe...!
- Voyez me dit le guide, c'est là, dans cette petite pièce, qu'a été entreposée la fameuse momie ! Je pénètre derrière lui dans la chambre d'enfant. En face du petit lit, se tient une commode banale. Mais ce qui s'y trouve est bien loin de l'être : je ne peux m'empêcher de faire un pas en arrière, en apercevant le cadavre momifié du célèbre chat du château de Combourg...Le corps du félin est intact. Seul manque les poils. Mais l'animal, emporté sans doute par la mort en pleine position d'attaque, est effrayant, avec ses machoires grandes ouvertes sur des petites dents pointues, ses yeux jaunes sans lumière. "La plupart des visiteurs ne supportent pas ce spectacle, me dit mon accompagnateur. Surtout lorsqu'ils connaissent la légende s'y rattachant. Je m'efforce de plaisanter, peu soucieux de me laisser gagner par l'inquiétante atmosphère de ces lieux. Un fantôme, au 20° siècle, on n'y croit plus, n'est-ce pas, fût-il celui d'un inoffensif chat noir...Au moment où nous rions ensemble, la porte de la chambre se ferme d'elle-même avec violence, nous enfermant. "Ne vous inquiétez pas j'ai l'habitude ! C'est le fantôme ! C'est sa manière à lui de nous faire comprendre qu'il est bien là..!" Ici à Combourg, dans cette jolie bourgade bretonne, située à une trentaine de kilomètres de Rennes, tout le monde croit dur comme fer à la légende qui se rattache au célèbre château. Une légende inoubliable, puisqu'elle a traversé les siècles, depuis le quatorzième, époque où fut reconstruite une partie du domaine et où se déroulèrent les faits donnant naissance à la légende.

Dans le pays des chevaliers de la Table Ronde, non loin de cette forêt de Brocéliande, domaine de l'enchanteur Merlin et de la fée Morgane, les contes qui se rapportent au château sont aussi nombreux qu'énigmatiques. Dès le cinquième siècle, des moines irlandais s'installent là, Combourg n'est alors qu'un petit village. Mais, déjà, vient d'y jaillir une fontaine miraculeuse, dont l'eau a le pouvoir de rendre la vue aux aveugles. Plus tard, un lac surgit mystérieusement au pied du château et son eau trop calme reflète encore aujourd'hui, par beau temps, les hautes tours du manoir. Le bâtiment résista aux luttes féodales qui déchirèrent la Bretagne au Moyen-Âge. Il sortit indemne de la guerre de Cent ans et s'enorgueillit alors d'un nouvel édifice, la tour du maure, en souvenir des Croisades. La Tour du Chat, elle, fut construite un peu plus tard. C'est le lieu maudit du château, là d'où partent, dit-on, tous ces sortilèges...La tradition médiévale conduisit, en effet, les seigneurs des lieux à emmurer un chat noir à l'intérieur des parois de pierre de la tour à peine terminée. Chat noir égal Diable, prétendait la sagesse populaire. Le capturer et le tuer à l'intérieur de la tour était une manière de se protéger du démon. C'est ce que l'on fit, en grande pompe. Le malheureux animal fut donc jeté dans un réduit minuscule aménagé dans la pierre et proprement scellé ensuite. Il dut y périr d'asphyxie.
Mais le mauvais sort était conjuré et les châtelains dûment protégés des maléfices du Malin. C'était compter sans la revanche des esprits. Le chat noir se mit, en effet, à hanter les couloirs du château. Certains l'ont vu, d'autres entendu. Dans le hall du bâtiment principal, le visiteur peut même acheter une carte postale à l'effigie de cet animal ensorcelé qui, bientôt, s'adjoignit un maître...Car le marquis de Coëtquen promène, lui aussi, son fantôme dans le château, depuis sa mort, survenue au milieu du 18° siècle..! Le marquis était un des seigneurs de Combourg. Il perdit une jambe à la bataille de Malplaquet et s'éteignit dans son lit en 1727. Depuis, chaque nuit du 23 décembre, il balade sa jambe de bois d'escalier en couloir, toquant aux portes de tous ceux qui logent là, faisant trembler de peur, par sa simple présence, les habitants qui se succédèrent ici. Pourtant, assure-t-on, il n'a rien de malfaisant et n'a jamais fait de tort à personne. L'actuel propriétaire de Combourg, Géraud de la Tour du Pin-Verclause, s'en arrange fort bien, en digne descendant de François René Chateaubriand, cet écrivain français dont l'enfance s'écoula dans ces murs, à l'intérieur de ces vastes salles ombreuses et solennelles, dans ce parc où le mugissement du vent ressemble tant aux plaintes sinistres de quelque trépassé.

Le Chat Noir tel qu'il a été retrouvé.

? ? ? ? ? ? ? ? ? bonne journée? ? ? ? ? ? ? ? ?
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? hello ma marine
gros bisousssssssssssssssssssssss
gisèle
http://yogi.centerblog.net
coucou!!marie chérie me voilà de retour de vacance sniff! mais heureuse de te retrouver!!il est où mon kdo lol
je te souhaite une bonne soirée et allez l'om!!!!!!!!!!!!!!!!!lol
gros bisous fort
http://missmemphis.centerblog.net
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